Dès l’époque baroque, les musiciens avaient coutume, pour célébrer un compositeur disparu, d’écrire des pièces qui portaient le nom de Tombeau.
Ces compositions mélangent le langage du maître avec celui du plus jeune. Cet hommage a continué jusqu’à notre époque avec par exemple « Le tombeau de Couperin » écrit par Maurice Ravel.
Cette musique de Marc Lauras se développe en respectueuse référence aux suites pour violoncelle seul de J.S. Bach, partition mythique entre toutes pour tous les violoncellistes. Elle se termine par la citation de la sarabande de la 5ème suite.
Le tombeau de JS Bach – le début