L’histoire des trois derniers jours de la ville de Tsé, assaillie par l’ennemi.
Dans la dernière nuit, Casamance, 20 ans, isolé au milieu des ruines :
Ô ciel de Tsé, comment restes-tu silencieux dans ce désastre ?
Milliers d’yeux agrafés au velours noir de cette nuit.
Où donc, au milieu de cette agitation humaine, balancent tes seins ma reine comme barques brunes ?
Texte de Claude Guerre
Mise en scène de Gilbert Barba pour l’Atelier du Possible
Musique de Marc Lauras
Création à Saint Martin de Crau en Juin 1993
Dans la nuit de la ville de Tsé, le champ des pendus