PIÈCES DE CONCERT

SUSPENDUE, ANDROMÈDE

« Les herbes de la steppe dansent dans la brise, foulées par les sabots de mon cheval qui va au pas et me ramène vers mon aimée…
Sera-t-elle toujours là ? Mes enfants me reconnaîtront-ils ? Le paysage est immense.
Pendant ce temps là d’autres déclenchent des guerres… »
Lionel Parlier

J’ai écrit « Suspendue, Andromède » l’air de rien, dans des conditions tout à fait inattendues, dans une désinvolture absolue.
C’est une direction de travail que je n’avais jamais expérimentée.
Le résultat m’a beaucoup étonné et me surprend toujours.

Cette musique est en même temps immobile, et en perpétuelle avancée.
A la fois douce et d’une force intérieure très puissante.
J’ignore de quel coin caché de mon imaginaire musical elle a pu surgir.